Témoignages

 

Témoignages de quelques-uns de mes élèves :

 

Témoignage d’une pianiste, professeur de piano, 45 ans :

 

Je cherchais depuis quelques années des méthodes pour « mieux être » derrière mon piano et dans la vie de tous les jours avec moi-même, mes enfants, mes élèves, mes collègues…
Je ne me sentais pas toujours bien dans mon corps : tendue, bloquée, mal à l’aise, etc.
A partir du moment où j’ai commencé à prendre des leçons régulièrement, j’ai ressenti un réel changement.
Dès le début avec mon instrument, mes élèves, voire même dans mon sommeil, j’ai trouvé un changement bénéfique.
J’ai trouvé à travers les leçons, le calme, la paix intérieure, la fluidité, le lâcher prise (dans le cou, le dos, les cuisses…)
J’ai repris confiance en moi au piano, mon son est plein sans forcer. Cette méthode subtile m’apporte le calme dans ma vie de tous les jours (au volant, en marchant, en faisant mon ménage…)
Je continue à rechercher en permanence ce bien être intérieur. Je le cultive, il me ressource. J’ai besoin de ce cours hebdomadaire qui m’apporte beaucoup, subtilement, en profondeur. La certitude d’être bien là où je suis.

 

Témoignage d’un comédien, 35 ans :

 

J’ai tiré un bénéfice très profitable de mes leçons. Une approche beaucoup plus détendue et souple de ma pratique de comédien, un élargissement de mon imagination, et des facilités plus grandes de mémorisation.C’est aussi une aide précieuse pour diriger les jeunes acteurs ou les amateurs qui me demandent de travailler avec eux. Car cette attention à son propre corps développe une plus grande sensibilité à la présence de l’autre.

 

Témoignage d’un saxophoniste et enseignant, 28 ans :

 

Les progrès accomplis grâce aux leçons, sont difficilement « chiffrables » car je n’ai pas amélioré une performance comme en sport ; j’ai plutôt gagné une prise de conscience sur mon état physique et psychique lors d’un concert ou d’une représentation.
Ce travail a permis de mettre en lumière plusieurs mauvaises habitudes de préparation aux concerts : la fausse idée de vouloir être chaud physiquement me conduisait à effectuer toute une série d’échauffements avant de rentrer en scène. Ceci allait à l’opposé de la recherche du calme ou du vide nécessaire à une bonne représentation et alimentait nettement la dose d’angoisse ou de trac.
Ce trac engendre des tensions musculaires et il était paradoxal dans mon cas d’échauffer mes muscles, muscles qui se raidissaient par un mauvais état émotionnel.
M. Aknin a mis nettement en relief la relation étroite entre physique et psychique, et a décelé les mauvaise s habitudes que j’avais prises au fil du temps. Il a, en pointant du doigt ces zones sujettes à tensions, et en travaillant afin qu’elles disparaissent, permis une meilleure circulation énergétique. Et comme relaxation et concentrations sont liées, m’a fait gravir une étape dans ma perception de la concentration.
Ce qui est valable pour la représentation en public est aussi valable pour quiconque souhaite s’exprimer en public, se rendre à un rendez-vous, réussir une performance particulière…
Il est primordial et indispensable d’avoir pour tout artiste la possibilité de suivre cette formation car elle soulève des questions universelles de comportements physiques et mentaux. Chacun peut trouver dans cet enseignement des réponses pour pouvoir franchir des étapes importantes de progression professionnelle ou personnelle.

 

Témoignage d’un professeur en mathématiques, 34 ans :

 

Lettre adressée à une journaliste spécialiste de la santé

 

Bonjour Madame,
Vous m’avez conseillé de suivre des cours de technique Alexander avec Mr Aknin, et je vous en remercie grandement car cette technique m’a permis de faire des progrès dans ma vie bien au-delà des espérances que j’y avais placées.
Je suis chercheur en physique et professeur en classes préparatoires en mathématiques, j’ai fait une analyse pendant de longues années, mais il me restait de nombreux problèmes à régler encore quand j’ai fait appel à vous. Je restais extrêmement timide et maladroit, j’avais de grandes peurs, je restais régulièrement en retrait dans la vie sociale. J’ai pris des cours de technique Alexander pendant 5 mois et demi à raison de 3 cours par semaine. L’effet des cours a été quasi immédiat, disons qu’en deux semaines les personnes autour de moi ont remarqué des différences notables dans mon comportement, on ne parle pas d’aujourd’hui où ma personnalité est simplement à l’opposé de ce qu’elle était : je suis sociable extraverti très sûr de moi, véritablement serein, mon analyste me disait avant-hier que les résultats de cette technique sont tout simplement impressionnants.
Cette technique m’a paru simple dès le premier cours, elle demande un certain investissement personnel mais pas trop, disons de suivre sérieusement les conseils du professeur. A part cela, il s’agit juste d’aller au cours, de s’entrainer un peu chez soi si l’on y pense, voilà tout. La technique qui est orientée vers le corps m’a permis d’effectuer un changement radical dans ma vie, en direction des autres, et je le répète en un temps extrêmement court. Je veux signifier par là qu’elle ouvre à celui qui la pratique en fait toutes les possibilités, c’est-à-dire qu’elle rend possible un comportement qui n’aurait même pas été envisageable avant, et donc elle rend possible certains projets (et surtout elle ouvre de nouvelles portes et apporte en quelque sorte de nouveaux projets).
Tous les timides savent ce que signifie se confondre en mille excuses dés que quelqu’un leur marche sur un pied, sursauter au moindre bruit de klaxon à coté d’eux, hésiter une minute avant d’entrer dans un lieu public. S’ils désirent changer, avec la technique Alexander, ils pourront en un mois être celui qui parle d’une voix sure et posée à un groupe de plusieurs personnes, prendre leur place dans n’importe quel lieu sans agressivité aucune mais avec la plus grande assurance, se tenir droit sans crainte, ne plus avoir peur des autres, aller vers les autres et leur parler etc.
C’est une technique qu’il faut conseiller à toute personne ayant la motivation de changer sa vie et de prendre en main son destin.
Bien à vous et encore merci

 

 

Témoignage d’un médecin hospitalier, 40 ans :

 

Venu par le bouche à oreille, d’abord un ami hautboïste puis un autre, chanteur. Venu pour le chant, percevant de plus en plus les tensions bloquantes. Et sentiment global d’usure physique prématurée, d’utilisation non efficace de l’organisme. Sentiment probablement exacerbé par le passage récent de la quarantaine et par la vie parisienne un peu harassante. Et puis des tensions relationnelles au boulot. Banal.

Perturbé immédiatement par le constat évident de ne pas pouvoir se sentir à l’aise plus de 2 mn assis sur le tabouret, avec des tensions dans le dos, dans le cou, ne sachant que faire de mes bras. Perturbé aussi rapidement par les premiers exercices imposant une attention sans intention, seulement une attention, au début hésitante puis, devenant plus à l’aise, de plus en plus intense, puissante, perçante.

Impressionné par les bienfaits rapides de cette attention sur les tensions musculaires, par micro-relâchements successifs, quasi imperceptibles au début puis rapidement évidents. Impression forte de reconnecter avec son corps, dès la deuxième séance.

Cette fois-çi allongé, sensation d’un relâchement total et que trop rarement ressenti auparavant. L’obstacle initialement ressenti pour passer dans les membres inférieurs est finalement surpassé en position horizontale. Effet sur la respiration indubitable ; devenant calme, très calme, lente, minimaliste, l’organisme ne demandant finalement que le nécessaire, c’est à dire très peu. Du coup, malgré le débit très faible et des contraintes réduites, je perçois, grâce à une hyper-perception de nouveau acquise, l’air que j’inspire, presque aussi clairement qu’une boisson que j’avale.

Quelques séances plus tard je commence à m’autonomiser, au réveil parfois, impression troublante après quelques minutes de n’être qu’une respiration discrète, spontanée, sans aucun effort. Rapidement les premières impressions en chant sont modifiées. Impression de facilité. Prise d’air minime, forcément naturelle, totalement relâchée. La voix est claire et timbrée, connectée facilement et naturellement avec l’abdomen. Le corps reprend le dessus et il est bien meilleur que ce cerveau qui voudrait tout contrôler, comme ce prof de chant.

Presque deux ans plus tard, c’est ancré dans mon quotidien. J’ai pourtant du arrêter depuis 10 mois. Mais il en reste quelque chose. Evidemment ce n’est pas aussi fort qu’à la fin de l’année passé avec des séances régulières. Mais j’ai acquis une technique que je peux pratiquer tout seul et qui m’a changé.

Beaucoup plus calme au quotidien, je laisse plus venir, sans réagir dès la première impression ressentie. L’attention toujours, avant l’intention. Bénéfice évident par exemple en consultation où je laissais une énergie incroyable, littéralement vidé en fin de journée. Maintenant, je ne m’y épuise plus et les patients m’y trouve plus disponible intellectuellement et plus détendu physiquement. Moins sensible à la pression. Plus clair dans mes pensées, je suis plus rapide en face d’un problème diagnostique ou d’une question de recherche.

Un seul problème, j’ai du mal à voir mes proches se tenir mal… Mais j’y travaille !

 

 

Témoignage d’une élève de 81 ans toujours en activité :

 

Pour que mon témoignage ait un sens permettez-moi de me présenter.
Agée de 81 ans je continue des activités professionnelles à un rythme qui a été très perturbé par une grave opération cardiaque il y a quatre ans. L’opération ayant bien réussi, mon état s’est nettement amélioré.
En octobre dernier, en voulant courir après un autobus je suis tombée sur l’arête du trottoir mais apparemment sans conséquences graves, si ce n’est que je boitais un peu. Jai traité cela en prenant de l’arnica et du rescue (fleurs de Bach) et ne suis pas allée consulter.
Peu de temps après, grâce à un ami, j’ai commencé un travail régulier avec Guy-Vincent Aknin. J’avais déjà beaucoup entendu parler de la méthode qu’il pratique et j’ai fait des séances avec lui à raison de deux par semaine.
La première semaine je me suis sentie très fatiguée avec l’impression de faiblesse dans les jambes. J’ai néanmoins continué malgré une réaction qui aurait pu m’inquiéter si je n’avais l’habitude des médecines douces : je boitais énormément et j’avais du mal à marcher. Puis brusquement ma jambe droite (le côté sur lequel j’étais tombée) est devenue progressivement toute noire – de la hanche à la cheville. Une fois de plus je n’ai pas consulté. J’assume l’entière responsabilité de cette attitude et ne la recommande en aucune manière à qui que ce soit car l’apparence de la jambe était plutôt spectaculaire.
En l’espace de deux semaines ma jambe a repris une apparence et une couleur normales et je me suis mise à marcher de mieux en mieux.
J’ai continué deux séances régulièrement jusqu’au mois de mai, mois pendant lequel j’ai la plupart du temps pris une seule séance par semaine à cause de mes occupations professionnelles. Même chose en juin et une interruption totale au mois d’août. Mais avec tous les jours, et de nombreuses fois par jour, une attitude consciente de la façon dont je me comportais et dont je me déplaçais.
Voici le mois de septembre et je vais reprendre, mais sur un rythme de deux ou trois séance par mois.
Les bienfaits de cette méthode sont multiples. Mon essoufflement dû aux problèmes cardiaques s’est amélioré et j’ai une bien plus grande fluidité de mouvements – d’ailleurs je ne boite plus du tout, sauf lorsque je me mets à penser au lieu de laisser mon corps agir. Et enfin chose qui m’a beaucoup plus étonnée je me sens plus à l’aise dans ma façon de réagir et d’intervenir dans les débats.
Voilà un témoignage qui est bien long mais je ne voudrais pas que l’on croie que je vante les mérites d’une méthode qui serait la panacée qui ne demanderait aucune participation du sujet. A mon avis – en tous cas, c’est ainsi que je perçois ce travail – il faut « participer ». On n’apporte pas un corps à Guy-Vincent en lui demandant de le réparer.